
28 Juin Massage sensitif
J’ai découvert le massage sensitif pendant mon cursus de formation à Suntaya. J’ai entamé le module dans l’optique de débuter la formation de Somatothérapeute en octobre 2021.
Le massage sensitif est un des outils du somatothérapeute. Il aide à libérer les blocages ou troubles psychologiques chez les personnes rencontrant des difficultés dans leur vie (burn out, divorce, décès, maladie, licenciement…).
Cette technique psycho corporelle a été mise au point par le psychiatre Claude Camilli dans les années 60. Depuis 1975, elle est enseignée dans des centres de formation dédiés à cette pratique : l’institut Camilli.
De plus, le massage sensitif se base sur l’écoute du massé et plus précisément sur sa respiration. Ce fonctionnement permet de proposer une séance de massage personnalisée.
Le masseur va se caler sur la respiration du massé dans un rythme de tension et de détente qui va permettre le relâchement du massé.
Le somatotherapeute après un entretient avec son patient va le masser durant 20min et à l’issu il recueillera ses sensations. L’état sophronique (état proche de l’hypnose) dans lequel le patient a été plongé, lui permet d’exprimer des pensées plus profondes et libératrices.
Par ailleurs, le massage sensitif peut également être utilisé hors cadre thérapeutique dans un objectif de bien-être. Il est proposé dans certains instituts de massages bien-être sur des séances plus longues (50min). Découvrez les autres massages réalisés par l’institut Yuzu.
Je me permets de citer Claude Camilli créateur du massage sensitif :
« Je suis convaincu de l’utilité du massage sensitif pour un meilleur bien-être, pour un meilleur équilibre personnel. Mais je n’irai pas jusqu’à prétendre qu’il est applicable à tous, sans distinction. Si un chercheur découvre un remède, et que ce remède s’avère valable, voire excellent, il y aura toujours des indications, des contre-indications et une posologie qu’il faudra respecter, sous crainte de ne pas le voir remplir son office.
Ce massage n’est pas une panacée. C’est un outil, et un outil vaut souvent ce que vaut l’artisan ! »